Collage de street art muséifier... in situ

En juin avenue de Flandres, un galeriste s'est précipité perceuse en main pour fixer un plexiglas de protection censé conserver un collage inspiré d'un portrait équestre de Napo. Pourquoi ? Parce que l'artiste présumé est "bankable"...
Et après la perceuse le pinceau censurant l’impudent qui oserait s'exprimer, comme le montre cette photo prise en août. Va-t-on subir longtemps ce plexiglas ? Le street art est un art vivant et... éphémère. Na !

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